Christine Guilbaudeau productrice associée chez Hellostranger
Christine Guilbaudeau rejoint Pascale Scetbon chez Hellostranger en tant qu’associée
La productrice Christine Guilbaudeau, auparavant chez Henry, rejoint en tant qu’associée Pascale Scetbon fondatrice d’Hellostranger il y a 3 ans.
Une association qui ne doit rien au hasard: en effet les deux productrices se connaissent très bien, elles ont travaillé ensemble chez Irène pendant plus de 10 ans. « Nous partageons bon nombre de valeurs importantes et on a vraiment beaucoup de plaisir à se retrouver et à échanger sur tout un tas de sujets liés au travail mais pas seulement« .
Chacune son style, son background personnel, sa personnalité, son expérience dans ce métier, ce qui ne fait qu’enrichir leur lien tout en offrant aux réalisateurs d’Hellostranger une altérité attractive, avec en commun, le même amour du travail bien fait, la même ambition sur chaque film qu’elles produisent, petit ou gros, et le désir de faire du sur-mesure pour chaque client. « Nous évoluons dans un contexte extrêmement concurrentiel, il faut apporter une qualité de service et une créativité sur les choix de production pour se démarquer des autres».
La recherche de talents et leur développement se trouve aussi au centre de leurs préoccupations. «Le roster d’Hellostranger a évolué ces derniers mois, Lisa Azuelos, Emilie Cherpitel, Victor Claramount, ElishaSmith Leverock, Petrovsky & Ramone viennent étoffer notre offre en comédie et aussi sur le secteur mode et beauté sur lequel nous n’étions pas très présentes jusqu’alors.»
Si leur activité principale est la publicité, elles ne se privent pas du « bonheur de produire des courts-métrages en toute liberté ! Les réalisateurs ont parfois besoin de se repositionner et de nourrir leur bande de projets plus personnels qui leur tiennent à cœur. C’était le cas de Keith Bearden, dont Hellostranger vient de produire le dernier court métrage tourné dans le Connecticut NO COSTUME, NO CANDY un petit bijou d’humour, un portrait éclairé et acide de l’adolescence américaine aujourd’hui. »
Les deux productrices partagent aussi l’envie de travailler plus en proximité avec les réalisateurs, de développer de jeunes talents, et de s’investir à un niveau plus humain, plus personnel. «Nous pensons que le métier de producteur ne peut se limiter à la production d’un film de commande de temps en temps. Nous accompagnons nos réalisateurs sur tous les sujets sur lesquels ils nous sollicitent. C’est à cet endroit que se créent un véritable échange, la confiance et la complicité qui feront la différence sur un plateau.»