Les temps changent. Rosapark aussi. À l’aube de ses 10 ans, Rosapark devient Rosa Paris. Un changement de nom, qui accompagne une nouvelle posture : être du côté des gens avant d’être du côté des marques. « Pour qu’une marque soit aimée, il faut qu’elle fasse preuve d’empathie et qu’elle se mette d’abord et avant tout à la place des gens. Car c’est en respectant les gens que ceux-ci respecteront les marques. Pas l’inverse. » déclarent Jean-Patrick Chiquiar, Gilles Fichteberg et Jean-Francois Sacco.
Cette notion de respect et de confiance, entre les marques et les consommateurs, entraîne selon les fondateurs un changement de paradigme profond dans la façon de faire ce métier. « L’utilité de notre métier est de plus en plus souvent remise en cause par le grand public alors que la force d’une idée a le pouvoir d’agir sur les changements de comportement ou de perception. Nous avons voulu nous engager plus fortement pour démontrer aussi notre utilité pour les citoyens ».
Être du côté des gens, c’est être du côté des collaborateurs :
Avec une nouvelle organisation dans les locaux agrandis et repensés autour de quatre grands besoins : se concentrer, s’inspirer, collaborer, se détendre, pour une agence résolument centrée sur la confiance, la collaboration, la créativité et l’interaction.
Être du côté des gens, c’est être du côté des citoyens, avec un engagement plus fort vers le local et la diversité :
À travers l’implication de l’agence dans le quartier Faidherbe où sont situés ses locaux pour développer les commerces de proximité et leur attractivité.
En travaillant sur le sujet de la diversité et l’inclusion sociale en collaboration avec l’AACC sous la présidence de Gilles Fichteberg qui en a fait le cœur de son programme. Un comité Diversité est mis en place au sein de l’agence et développera la campagne de recrutement des agences pour lancer ce programme diversité de l’AACC.
Pour accompagner ce changement de nom, Rosa Paris revoit son identité à travers une rose stylisée, dont les pétales sont formés par les lettres R.O.S.A. « On aimait l’idée d’avoir un symbole extractible, où la marque pouvait se mettre en retrait dans nos supports de communication car on a plus envie de communiquer avec une fleur qu’avec une marque », précisent les trois co-fondateurs.