Campagne Betclic conçue par Marcel
Dispositif TV, digital, réseaux sociaux, billboards, print
Première diffusion 19 septembre 2023
Betclic, le leader des paris sportifs, déploie sa nouvelle campagne de communication signée Marcel. Tranchant avec les codes du pari sportif, le film « L’onde » réalisé par Bruno Aveillan (Quad) à la narration visuelle spectaculaire incarne avec intensité la promesse de la marque de faire vivre le sport plus fort. Semblable à la houle sur la mer, une onde progresse de la campagne jusqu’aux villes faisant onduler route et sols. Sur son passage, l’onde soulève deux passagers d’un car, une jeune femme dans un bar, un mécanicien dans son garage, ou encore une jeune femme dans la rue, tous explosant de joie, jusqu’à son retour à son point de départ : l’impact d’un ballon sur le sol derrière la ligne de but lors d’un match de football. Cette onde, c’est l’émotion ressentie à cet instant, que seul le sport peut offrir, qui part du stade et se propage sur des kilomètres à la ronde, touchant supporters et spectateurs, et avec encore plus d’intensité les parieurs et les parieuses. Le film d’une minute à la métaphore visuelle d’autant plus spectaculaire et surprenante qu’elle est racontée à l’envers, nous embarque non sans humour dans cette onde positive « vague d’énergie et de bonheur irrépressible » (selon les mots de Bruno Aveillan) au rythme soutenu du morceau classique Peer Gynt réorchestré.
Aux manettes de cette campagne de marque, Alexandre Girod, concepteur rédacteur et Julien Vergne, directeur artistique, team créatif arrivé il y a un an chez Marcel, reviennent pour nous sur ce projet ambitieux.
Packshotmag:
L’année dernière la première campagne de Marcel pour Betclic installait la nouvelle signature « Et le sport se vit plus fort » avec un film centré sur la singularité de chaque parieur. La nouvelle campagne « joue » spectaculairement le collectif et l’universel. Pouvez-vous nous raconter l’évolution de la création ?
Alexandre Girod et Julien Vergne:
L’année dernière, la star du film c’était le parieur. Cette année, c’est le sport avec un grand S. Betclic souhaitait le remettre au centre de l’histoire. Dans « Et le sport se vit plus fort. », il y a le mot sport. Ce qui différencie le pari sportif de tout autre jeu d’argent, c’est qu’il est relié à un fabuleux divertissement. Ce n’est pas le jeu pour le jeu, mais le jeu relié à un événement. Et comme vous le dites, ces moments sont collectifs. Soit parce qu’ils sont vécus en groupe ou soit parce que c’est une émotion universelle partagée instantanément dans la même seconde. Elle est donc là l’évolution. On est passé d’un film de pari à un film de pari sportif. Il s’agissait aussi d’une volonté d’emmener la marque plus loin en termes de communication. Betclic capitalise sur l’Entertainment et il lui fallait un film à grand spectacle. Un film qui positionne Betclic comme un fournisseur de divertissement. Cela passe forcément par une image craftée et un script assez surprenant.
PSM:
Qu’est-ce qui vous a poussés à interroger Bruno Aveillan sur ce projet et à le choisir ?
AG et JV:
Le script était périlleux parce qu’il mêlait de nombreux défis de réalisation à la fois en production mais aussi narratifs. Et Bruno est quelqu’un qui a une grande expérience de ce genre de projet.
Lorsque nous l’avons interrogé, Bruno a fait la différence en expliquant (et à juste titre) que les spectateurs avec le temps se sont habitués aux superbes images très bien post produites, aux effets spéciaux 100 % numériques. Bruno a proposé de réaliser le maximum d’effets spéciaux en direct. De plus, sa capacité à réaliser des films à grand spectacle n’est plus à prouver.
Sur un film comme celui-ci, il nous fallait plus qu’un très bon réalisateur, il nous fallait un véritable général en chef. Mais un réalisateur n’est rien sans ses producteurs. Et le talent de Bruno Aveillan c’est aussi Nataly Aveillan, Martin Coulais ou encore Rodoplphe Lanaro, et toutes les équipes de Quad, Fix Studio, The Dog et Reepost.
PSM:
Comment ce choix s’est-il imposé ? Y a-t-il un film de sa bande qui a fait référence ?
AG et JV:
Bruno Aveillan ce n’est pas quelqu’un dont on a besoin de se repasser la bande. On la connaît. Et chez Marcel peut-être plus qu’ailleurs grâce au film Cartier. Non, trois choses nous ont donné envie de partir avec Bruno. Premièrement sa motivation. Tout de suite, il a montré une telle envie de faire ce film. Deuxièmement, son parti pris de production. Dès le début, il mettait l’accent sur le fait de faire le plus d’effets spéciaux en vrai. Et troisièmement, c’était son appréhension instantanée du script. Sans avoir à lui expliquer, il le voyait exactement comme nous.
Pour résumer, on va reprendre les mots de Martin Coulais : « Pars du principe que Bruno veut faire un meilleur film que toi. »
PSM:
Qu’est-ce ce qui vous a le plus impressionnés sur ce tournage avec Bruno Aveillan ?
AG et JV:
Comme on le disait juste avant, Bruno nous a convaincu sur sa volonté de faire le plus de chose possible en vrai. Et on n’a pas été déçus. Notamment la scène du bar. Bruno avait demandé à la décoration de faire une réplique du carrelage de ce vieux bar barcelonais afin de le disposer sur une grande bâche pour ensuite faire passer un demi- cylindre d’acier de 3 mètres de large afin de simuler le passage de l’onde. Et le résultat était là. On avait vraiment l’impression que le sol du bar était traversé par une onde. Au combo, il ne nous manquait plus que le pop-corn.
Travailler avec lui, et constater son niveau d’exigence force le respect et motive à en faire toujours plus. Le film est plein de détails qui ont leur importance et que nous ne voulions pas négliger. Pour preuve, nous avons travaillé, entre autres choses, les kits des joueurs de football comme s’il s’agissait de deux vraies équipes de football (blasons, matières des tenues, logos d’équipementiers, typos, noms des joueurs etc). D’un côté parce que nous n’avions pas envie de voir à l’image deux équipes « getty » et de l’autre pour faire honneur aux plans de Bruno.
Et enfin, et ce n’est pas un détail, ce projet est un vrai projet collectif, et nous avons eu droit à un investissement sans limite de Bruno, Quad, et toutes les équipes de Fix studio du premier jour de pré-production jusqu’au rendu final. Et ce, avec une post prod en temps limité et en plein été.
PSM:
Qu’est-ce qui a changé entre le script original et le montage final du film ? Est-ce que le film répond à toutes les attentes ?
AG et JV:
Le film est, à une scène près, identique au script, l’histoire était là dès le début. On tient d’ailleurs à préciser que le client a quand même acheté le film immédiatement, dès la présentation du script! C’est important de le souligner car ça n’arrive pas souvent. Les clients ont tout de suite adhéré au script qui les a embarqués et ont été avec nous dès le début, sans rien changer. Pour le coup, ils nous ont fait confiance, les yeux fermés. C’est après que ça a été plus long pour trouver le réalisateur, les décors et tout ce qu’il nous fallait en pré production… Donc oui pour toutes les raisons développées plus haut, le film répond à toutes les attentes de tous, et au-delà.
Production | |
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réalisateur | Bruno Aveillan |
directeur de la photographie | Bruno Aveillan |
production | Quad Productions / QUAD GROUP |
producteur | Martin Coulais |
Agence | |
agence | Marcel |
directeur de création exécutif | Youri Guerassimov |
directeur de création exécutif | Gaëtan du Peloux |
directeur de création | Jérémie Bottiau |
copywriter | Alexandre Girod |
directeur artistique | Julien Vergne |
tv prod | Corentin Harran |
Client | |
client | Betclic |
Technique | |
directeur de production | Rodolphe Lanaro |
coordination de production film | Lucie Gallot |
Post-production | |
monteur | Thanh Long Bach |
post-production | Reepost |
post-producteur | Nataly Aveillan |
post-producteur | Marie Tavard |
post-producteur | Léa Bouzaiane |
post-producteur Vfx | Maeva Bonté |
superviseur Vfx | Bruno Maillard |
superviseur Vfx | Thomas Dos Santos |
superviseur 3D | Marc Gutmann |
supervision musicale | Antoine Le Guern |
musique | Edvard Grieg - Peer Gynt - Dans l'Antre du Roi de la Montagne |
production son | Prodigious |
production son | The Dog |
producteur son | Anthony Leblond |
producteur son | Boris Nicou |
producteur son | Xavier Benoist |
producteur son | Rémy Dorne |