Campagne CIC conçue par Australie
Dispositif TV, digital, réseaux sociaux, cinéma
Première diffusion 15 décembre 2024
Dans un contexte où la pratique de la shrinkflation (réduflation en français ) devient de plus en plus présente, 81% des Français ont remarqué une diminution dans les produits et services en 2024 ( OpinionWay), CIC avec son agence Australie réaffirme la qualité de sa relation client dans un nouveau film réalisé par Antoine de Bary ( Iconoclast ). Pause déjeuner dans l’open space . « Y en a de moins en moins » s’étonne (ou pas ) un homme découvrant sa petite tranche de jambon ultra fine. Sa collègue lui dresse alors le portrait d’un avenir où la tendance de la shrinkflation s’étendrait des cornflakes, à la chambre-cabine d’un hôtel à l’avion-bus transportant les passagers debout. Un avenir dégradé où on en a de moins en moins pour son argent. Sauf au CIC, qui se distingue en continuant de proposer un conseiller dédié et non commissionné à tous ses clients en agence ou en ligne. Évocation exagérée pleine d’humour du phénomène de la shrinkflation dégradant souvent la qualité des services, le film multiplie les idées et les trouvailles créatives pour mettre en avant a contrario la banque qui œuvre pour construire un monde où la relation personnalisée et de qualité reste au cœur du service bancaire.
À l’occasion de la sortie de ce quatrième film explorant une nouvelle écriture pour la saga CIC depuis un an, les créatifs Arnaud Lesueur et Frédéric Debruycker, aux manettes de la saga publicitaire depuis « la banque d’en face » au « monde d’en face » de nos jours, reviennent sur l’ évolution créative de cette saga bancaire qui se démarque depuis près de 20 ans par son humour et son univers stylé dans la comédie :
« Tout changer pour que rien ne change. Au début, nous étions juste dans la boutique d’en face. Une banque nulle, dépassée, ringarde et la simple vision d’une affiche CIC avec une proposition produit qui n’existait pas de l’autre côté suffisait à faire traverser la rue au client. Une comparative de mauvaise foi qui nous a permis au fil des années de peaufiner le ton humoristique du CIC et d’en faire la référence du secteur bancaire. Cela dit, si on veut rester au centre du jeu, il faut savoir bouger.
Alors l’année dernière, nous avons décidé de changer d’écriture sans casser le moule. Le principe, c’est de mettre en scène une discussion dans laquelle un des protagonistes évoque un souvenir, un rêve, une obsession… que l’on va illustrer visuellement en suivant ce que le personnage raconte.
Un humour plus visuel, plus libre qui nous permet de naviguer dans différents univers et in fine de retomber sur nos fondamentaux en face d’une agence du CIC qui offre la solution dans sa vitrine. C’est également plus déclinable sur des format web souvent utilisés sans le son. Cette écriture donne un nouveau souffle à la saga sans déroger aux principes qui ont fait son succès.
Nous avons aussi fait appel à un nouveau réalisateur : Antoine de Barry. Il amène aussi une certaine fraîcheur sur le sujet et on s’entend remarquablement, ce qui ne gâche rien.
Un bon film CIC, c’est déjà une histoire qui nous fait marrer nous. En tout cas, c’est comme ça que depuis le début nous les concevons. Si ça plait aussi à beaucoup de gens, tant mieux. Ça veut dire qu’on nous demandera d’en écrire d’autres. Pour ce film, tout part du premier plan : on voulait commencer par un subjectif à travers une tranche de jambon pour illustrer la « shrinkflation ». On part toujours d’une réalité qu’on exagère jusqu’à la rendre drôle et spectaculaire.
Mais rien de tout cela ne serait possible sans Bernard Gassiat, un client qui nous fait confiance depuis si longtemps et qui est un vrai décisionnaire. C’est assez rare pour être souligné et assez indispensable pour véritablement construire une marque. »
Production | |
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réalisateur | Antoine de Bary |
directeur de la photographie | Christophe Beaucarne |
production | Iconoclast |
producteur | Domitille Laurens |
Agence | |
agence | Australie |
copywriter | Arnaud Lesueur |
directeur artistique | Frédéric Debruycker |
head of production | Solène L'Helguen |
Client | |
client | CIC |
Technique | |
directeur de production | Rodolphe Lanaro |