Campagne ING Direct conçue par Rosapark
Dispositif TV’web, cinéma, réseaux sociaux, affichage événementiel
Première diffusion 14 janvier 2018
ING Direct, pionnière de la banque en ligne, renoue avec l’audace à travers un nouveau territoire de communication conçu par sa nouvelle agence Rosapark, incarné par la nouvelle signature : ING Direct, la banque qui s’investit pour moi. Plus qu’une banque digitale, ING Direct est une banque humaine, pensée par les humains pour les humains « Human to humain banking. » La banque revendique sa place de leader de la relation client à travers une campagne spectaculaire et inédite dans l’univers bancaire constituée de 3 films réalisés par Nalle Sjöblad produits par Birth.
Mêlant prises de vue réelles et intégration 3D, les deux premiers films révélés « Le temple des crocodiles » et « La planète infernale » mettent en scène une conversation téléphonique entre un conseiller et un client dans une situation d’urgence. Illustrant par l’allégorie le ressenti du client, sauvé par son conseiller, les films installent un univers cinématographique où se retrouvent les codes hollywoodiens des films d’aventure/action jouant avec brio sur le décalage entre la conversation banale et les scènes spectaculaires. De véritables blockbusters soutenus par une musique originale pour chaque film composée par Laurent Perez Del Mar.
Ce projet d’envergure ING Direct était un défi de taille pour la jeune production Birth fondée par Hugo Legrand Nathan, ce dont témoigne le producteur.
Quand Jean-François Sacco [cofondateur et directeur de création de l’agence] et Elodie Jonquille [TV producer] m’ont appelé pour me proposer les boards ING, j’étais content qu’ils me fassent confiance pour monter sur un projet aussi important pour l’agence pour leur nouveau client ING et aussi compliqué à remporter.
Nalle Sjoblad est ressorti comme une évidence pour tout le monde chez Birth : c’est le réalisateur qu’il faut pour cette campagne et nous allons essayer de partager cet engouement avec Rosapark. Très rapidement tout le monde est emballé, Nalle lance une écriture et propose une direction cinématographique ambitieuse. Il pousse les limites de chaque film de genre, propose un réalisme qui contraste avec la comédie des dialogues. Le pitch remporté, on choisit une équipe de premier choix pour entourer Nalle. Patrick Duroux prend le projet à la lumière, Pierre Pell à la décoration, Annelaure Nicolas au stylisme, Joheir au maquillage, Laragh Stewart et Vincent Champagnac en chef d’orchestre. La prestation des acteurs alliant jeu d’acteur et conditions physiques extrêmes rend le casting complexe. Les comédiens sont réunis par Luce Nordman au cours d’un casting physique et intense.
Après 2 semaines de préparation, nous voilà tous ensemble à Belgrade épaulés par Mathematic en post-production dans des studios de 3000 m2, c’était vraiment grandiose. 5 sets en parallèle, 3 jours de tournage, le making of en révèle l’ampleur. Ensuite 1 mois et demi de post-prod. Aujourd’hui, les films sortent, ca a été beaucoup de travail en très peu de temps… Je crois qu’on a réussi le pari même si je n’ai plus trop de recul sur les projets ! Quoi qu’il en soit, on a pris énormément de plaisir à tous travailler ensemble et entourer Nalle,. Beaucoup de plaisir, sur et en dehors du terrain, ce qui fait un peu la formule de Birth.
Jean-François Sacco a bien voulu nous répondre sur le choix de Birth et de son réalisateur pour ce projet ambitieux avec un nouveau client :
- Comment le choix du réalisateur s’est-il fait ? Sur quels critères ?
Le choix de Nalle s’est fait sur trois critères importants : sa bande, sa vision du projet, son énergie.
Pour moi la bande de Nalle repose sur deux composantes essentielles : Une réalisation très cinématographique et un humour très fin. En le choisissant nous avions donc la garantie qu’il savait placer sa caméra pour claquer et enchaîner des plans grandioses et qu’en même temps il maîtrisait parfaitement la comédie et le jeu d’acteurs.
En ce qui concerne sa vision, il voulait réaliser des films très réalistes. On devait pouvoir croire à ces scènes de sauvetage comme on croit à des scènes Hollywoodiennes. Il fallait que ça sonne vrai. Lui voulait que les scènes soient grandioses et que la comédie vienne du décalage entre la situation extraordinaire et une banale d’une conversation quotidienne de perte de carte bancaire à la piscine, ou de cuisine américaine. Nous étions totalement en phase avec sa vision.
Enfin, dès les premières rencontres, il émanait de Nalle une énergie très forte. Nous savions que ces films seraient compliqués à réaliser et à produire, et le fait de sentir en lui cette énergie nous a rassurés sur sa capacité à diriger ce projet.
- Comment Birth, une jeune production, a-t-elle su s’imposer sur un projet aussi important ?
Je connais très bien Birth et notamment Hugo Legrand Nathan son fondateur. C’est une excellente boîte de production avec de très bons réalisateurs. Même si elle est encore jeune, elle est ambitieuse, conquérante et fait du très bon boulot. Nous avions eu l’occasion de collaborer ensemble par le passé (Thalys, Décathlon,…) mais jamais sur une production aussi lourde. Néanmoins entre lui et moi il y a une très grande confiance. Or pour moi une des garanties de réussite de ce projet était lié à l’équilibre Réalisateur/Production. On ne choisissait pas simplement un réalisateur mais aussi une boite de production capable de l’accompagner… Pour Birth c’était un énorme challenge et ils l’ont relevé haut la main. Il fallait combiner un tournage compliqué, beaucoup de post prod et des délais très courts. Mais pour connaître Hugo, je sais qu’il ne laisse jamais tomber. Sa grande qualité a résidé dans le fait qu’il a su donner à son réalisateur tous les moyens pour que celui-ci puisse exprimer tout son talent et sa créativité.
- Ces trois films qui mélangent action et comédie sont de vrais moments de cinéma, inspirés de films cultes. Quel a été l’apport du réalisateur sur ce projet ?
Bien sûr il y a eu tout au long de l’élaboration de ce projet beaucoup d’échanges entre Nalle, Birth et Rosapark. Ces échanges d’une très grande richesse mutuelle sont à la base de la réussite de ce projet.
Je me souviens ainsi d’une discussion de Nalle, qui fut un des points forts de notre rencontre. En effet pour accentuer la véracité de ces scènes de sauvetage, Nalle avait écrit tout ce qui s’était passé avant la scène. Il avait développé un vrai synopsis digne d’un long-métrage pour arriver jusqu’à la scène en question. Ainsi avant de se retrouver sur la falaise au-dessus du torrent de lave, nos deux protagonistes faisaient partie d’un équipage de 8 personnes, qui était parti à bord d’un vaisseau intergalactique pour explorer cette planète. Les 6 autres membres avaient péri lors de l’exploration et ne restaient que deux derniers survivants. Tout ceci ayant pour but de renforcer le côté réaliste du sauvetage.
Le making of
Production | |
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réalisateur | Nalle Sjöblad |
directeur de la photographie | Patrick Duroux |
production | Birth |
Agence | |
agence | Rosapark |
directeur de création | Gilles Fichteberg |
directeur de création | Jean-François Sacco |
copywriter | Pierre-Antoine Dupin |
directeur artistique | Frédéric Leclerc |
tv prod | Élodie Jonquille |
Client | |
client | ING Direct banque |
Technique | |
directeur de production | Laragh Stewart |
1er assistant réalisateur | Vincent Champagnac |
styliste | Annelaure Nicolas |
chef décorateur | Pierre Pell |
storyboarder | Miguel Vieira |
Post-production | |
monteur | Morgan Mirza |
post-production | Mathematic |
post-production | Birth |
post-producteur | Johan Luce-Antoinette |
production son | Grabuge Productions |