Campagne Intermarché conçue par Romance
Dispositif TV, digital, réseaux sociaux
Première diffusion 9 avril 2023
Intermarché et Romance dévoilent « Ça s’éclaircit devant », le nouvel opus de la saga initiée en 2017 avec L’amour L’amour. Septième opus et 7e art : le film de nouveau confié à Katia Lewkowicz (Grand Bazar) est un véritable moment de cinéma pur et authentique de deux minutes où comme toujours l’enseigne se fait discrète mais essentielle pour laisser place à une histoire qui nous touche, en mettant la lumière sur le repas de midi au travail avec la gamelle dont l’usage revient en force dans un contexte économique difficile. Aujourd’hui, 63 % des actifs cherchent à réduire ou mieux maîtriser le budget de leurs repas du midi. Pour y arriver 58 % d’entre eux cuisinent chez eux des plats pour les apporter au travail. 71 % ont apporté au travail leur plat cuisiné à la maison lors des 12 derniers mois. Parce que ça coûte moins cher (74 %), car c’est meilleur et a meilleur goût (45 %), car c’est meilleur pour la santé (42 %). (Yougov/Baromètre de la Vie Chère Intermarché)
Plus subtilement que l’évocation d’un contexte économique, le film nous plonge dans la vie d’une France souvent invisible, aux côtés de Pierrot, docker à Sète. Chaque semaine avec sa femme, il prépare avec gourmandise et précision ses gamelles pour sa pause déjeuner, tandis que ses collègues se débrouillent avec pizzas, sandwiches et autres burgers-frites. Et sa propre gamelle, qui à chaque fois malgré ses interdictions écrites est mangée par un voleur toutefois reconnaissant. Un vol qui se répète et amuse sa bande de potes, jusqu’au jour où Pierrot a une idée pour piéger ce voleur indélicat. Mais le docker a le cœur tendre. « Bien manger ne devrait jamais être trop cher ». Un film aussi puissant que doux et délicat et lumineux qui à travers cette histoire d’amitié et de partage renoue avec l’émotion délivrée par le premier film de la saga. Personnage clé de l’histoire, comme toujours dans la saga au point de donner son nom au film, le titre « Ça s’éclaircit devant » du jeune artiste Mathieu Des Longchamps accompagne cette vision positive et pleine d’espoir de l’enseigne qui poursuit son combat « d’aider les Français à manger un peu mieux tous les jours » en proposant « Le marché anti-inflation » sur les rayons boucherie, marée et fruits et légumes. « C’était un défi de raconter une histoire positive et légère dans un contexte qui n’a jamais été aussi dur pour les Français contraints de devoir compter et arbitrer ce qu’ils mangent. Le casting d’une grande justesse retranscrit l’émotion de cette solidarité. Je trouve ce film puissant par ce qu’il dégage d’humanité. C’est en plus un univers que l’on n’a pas l’habitude de voir dans les écrans de publicité. » Alexandre Hervé, directeur de création.
| Production | |
|---|---|
| réalisateur | Katia Lewkowicz |
| directeur de la photographie | Laurent Tangy |
| production | Grand Bazar |
| producteur | Juliette Desmarescaux |
| Agence | |
| agence | Romance |
| directeur de la création | Alexandre Hervé |
| copywriter | Camélia Baccouche |
| directeur artistique | Lucas Fockenoy |
| tv prod | Emilie Talpaert |
| assistant TV prod | Mahé Parisse |
| Client | |
| client | Intermarché |
| Technique | |
| directeur de production | Hugo Merival |
| casting | Alexis Millet |
| styliste | Sonia Philouze |
| chef décorateur | David Bersanetti |
| Post-production | |
| monteur | Thierry Hoss |
| étalonneur | Arthur Paux |
| post-production | The Mill |
| post-producteur | Laura Roddier |
| musique | Mathieu des Longchamps - Ça s'éclaircit devant |
Avertissement: