Campagne Orange conçue par Publicis
Dispositif TV, web, réseaux sociaux, affichage
Première diffusion 13 mai 2016
Orange lance la nouvelle Livebox Orange, disponible le 19 mai. Super Wifi pour une connexion plus étendue et plus rapide, Ultra HD pour s’immerger au cœur du programme diffusé, disque dur de 1To de stockage accessible à distance ou Airbox pour avoir du Wifi même en dehors de chez soi, bref, « un outil d’émancipation ultime qui fait tomber les murs ».
Réalisé par Steve Rogers, le film de lancement des plus cinématographiques illustre ce potentiel exaltant de réinventer un nouveau chez-soi en l’ouvrant sur le monde.
Une narration visuelle esthétique et touchante à la fois par la fraîcheur de ce jeune couple embarqué dans sa nouvelle vie digitale.
Les possibilités et les attributs de la Nouvelle Libebox seront ensuite déclinés en formats courts en TV et en digital, pour toucher les publics spécifiques (footeux, gamers, fans de séries….)
Ce film marquant le premier projet important de La Pac sous l’égide de Jérôme Denis qui l’a reprise en main il y a 6 mois, et avec un réalisateur réputé qu’il avait déjà produit trois fois, nous avons demandé au producteur de nous parler de ce film et de cette étape.
Voici son témoignage, livré tel quel, où apparaît en filigrane le portrait d’un producteur impliqué, apprécié de toute la profession, apte à redonner sa place de choix à La Pac.
» C’est le quatrième film que je tourne avec Steve Rogers, après Canal + séries (Betc), Citroën Dad (Les Gaulois, Lion d’Argent à Cannes), et Don D’organes (DDB). C’est surtout le premier film d’envergure depuis ma reprise de la Pac en octobre dernier. Important donc. Quand tu es en pleine (re)lance d’une société, que Guillaume Delmas t’appelle pour un script Orange, qu’il te demande de sonder l’intérêt de Steve et qu’entre deux films Old Spice et un Nike avec W&K Portland, Steve te répond qu’il aime bien le script, tu te dis que l’année 2016 démarre bien.
Parlons de Steve Rogers deux minutes. A la lecture d’un script, je connais ses obsessions : l’insight, la place que le script peut accorder à des comédiens, la fantaisie.
Le script Orange tel qu’il était écrit offrait deux facettes, et à ce titre c’est le genre de script que j’adore car il va nécessairement impliquer le point de vue d’un réalisateur pour clarifier sa direction.
D’un côté, le charme d’une histoire entre un couple, la chimie des envies et des arguments contraires. Rien de mieux que la situation du choix d’un appart’ pour porter cette universelle dialectique. De l’autre, la fantaisie et la métaphore d’über-mondes grâce aux qualités du produit. Sur le papier, c’était un peu Star Wars qui rencontre Mike Leigh !
Steve s’est intéressé à la petite histoire et en tirant le fil, il a suggéré de ramener le script à hauteur d’hommes. Donc de simplifier tout ce qui pouvait paraître compliqué : les univers, les transitions… en suggérant de redevenir crédule, innocent, juste en suivant le parcours de nos deux comédiens. Je crois que c’est cette approche qui a séduit les créatifs chez Publicis. Elle avait une qualité par ailleurs : elle rendait l’approche production compétitive. Double effet séduction.
On a tourné le film à Sydney, dans sa ville. Une ville culturellement en ébullition. Avec une qualité de décors et d’industrie rare, proche de ce qu’on connaît en France dans sa manière et son économie. Avec des décors moins « consommés » que ceux généralement utilisés par notre industrie.
On avait constitué une équipe que nous connaissions bien Steve et moi :
Nicolas Karakatsanis à la lumière. Steve avait tourné le Nike Golf avec lui ainsi que d’autres films. Je connais Nico depuis les films Free (Rodolphe, réalisation Spike et Jones), mais aussi sur le Mercedes Sensations (Wilfrid Brimo).
Stéphane Allender a fait la supervision VfX pour Mikros. On avait collaboré avec Steve sur Citroën Dad et son intelligence et son goût paradoxal pour les solutions « in camera » en fait un allié incroyable pour des réalisateurs qui cherchent à exploiter au maximum le réel.
Virginie Bruant a monté le film : elle bosse majoritairement en long-métrage avec Julie Delpy ou Riad Sattouf, on se connaît depuis longtemps. J’apprécie sa sensibilité, notamment envers les comédiens et le fil narratif d’un spot. Steve a tout de suite adhéré.
Murielle Archambaud a étalonné le film, comme de nombreux films Orange. »
Une première étape importante et concrète pour La Pac qui va bientôt révéler toutes ses armes de séduction.
Production | |
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réalisateur | Steve Rogers |
directeur de la photographie | Nicolas Karakatsanis |
production | LA PAC |
producteur | Jérôme Denis |
Agence | |
agence | Publicis Conseil |
directeur de la création | Fabrice Delacourt |
directeur de la création | Olivier Desmettre |
copywriter | Julien Deschamps |
directeur artistique | Jordan Lemarchand |
assistant directeur artistique | Lucie Puybonnieux |
assistant directeur artistique | Alain Vuarchex |
tv production | Prodigious |
head tv prod | Pierre Marcus |
tv prod | Guillaume Delmas |
Client | |
client | Orange |
Technique | |
directeur de production | Eric Lipchitz |
Post-production | |
monteur | Virginie Bruant |
étalonneur | Muriel Archambaud |
post-production | Mikros Image |
superviseur VFX shoot | Stéphane Allender |
vfx | Mikros Image |
production son | Prodigious |