Campagne Paco Rabanne One Million conçue par Mazarine Mlle Noï
Dispositif Tv, cinéma, web, presse
Première diffusion 1er février 2015
https://www.youtube.com/watch?v=K2458_tD1eY
Lancé en 2008, classé chaque année parmi les meilleures ventes de parfum masculin, One Million de Paco Rabanne à l’emblématique flacon en forme de lingot d’or, présente sa nouvelle campagne axée autour d’un film réalisé par Alex Courtès et des annonces presse. Depuis six ans, la marque n’a cessé de décliner à travers une saga publicitaire les fantasmes d’une vie rêvée se réalisant sur un claquement de doigts pour sa ligne dérivée de parfums masculins et féminins, Lady Million, One Million Intense, et le dernier jus Eau My Gold. Le dernier opus revendique une nouvelle attitude et une nouvelle façon de vivre plus audacieuse : la Fabulous Life Million, incarnée par le top model americain, Sean O’Pry. Gentleman cambrioleur séducteur, ses aventures stylisées sont mises en scène avec virtuosité et fluidité dans un univers graphique noir et blanc, tel un « Magnifique » à l’allure contemporaine.
La productrice Erinn Lotthé Guillon revient pour nous sur ce projet :
– C’est la troisième collaboration d’Alex Courtès pour les parfums Paco Rabanne après le lancement d’Invictus et Eau My Gold. Qu’apporte le réalisateur à l’univers créatif de ces parfums ?
Depuis maintenant plusieurs années Alex a la chance d’avoir une super collaboration avec la même équipe de Mlle Noï et toute l’équipe de Puig/Paco Rabanne. Une grande confiance mutuelle s’est installée. Pour ce dernier film, c’est un travail à 6 mains avec la direction de création de l’agence, Francoise Jacquey et Valerie Larrondo, dans la lignée d’une campagne qu’elles ont créée.
-Le rythme du film est très dynamique. Avez-vous tourné avec la musique et quelles ont été les difficultés d’un tel tournage ?
Les films Million sont toujours conçus pour être des films cut/dynamiques et cela fait partie de l’écriture au départ. Nous tournions avec la musique bien sûr, comme pour un clip elle est partie intégrante du projet au départ, puis au montage bien évidemment. Nous avons travaillé avec les chorégraphes I Could Never Be A Dancer. Sean O’ Pry, qui n’est pas un danseur professionnel, a répété plusieurs sections de chorégraphie. Leur travail s’est avéré payant très rapidement. Simon Chaudoir et Alex se connaissent bien et ils ont su capturer cette énergie. Nous avions deux jours de répétition et deux jours de tournage. Tout s’est passé remarquablement, je crains de ne pas avoir d’anecdote croustillante.
– Les films Million utilisent toujours le noir et blanc avec quelques touches de couleur. Il semble qu’Alex Courtés ait dans la majorité de ses films cette même fascination, comme une signature.
Le noir et blanc est toujours extrêmement agréable à travailler pour tout réalisateur surtout quand il est issu du graphic design. Pour autant Alex est très à l’aise dans plusieurs formes d’expression et il ne saurait se spécialiser dans aucun genre ou forme particuliers. Il est éclectique dans ses choix et souhaite garder cette liberté. Par exemple, il est en train de finir une série pour Arte, écrite par l’auteur d’OSS 117, et c’est une comédie « de genre », l’histoire des services secrets, qui se passe dans les années 60, en couleurs bien sûr !
Production | |
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réalisateur | Alex Courtès |
directeur de la photographie | Simon Chaudoir |
production | Les Télécréateurs |
producteur | Erinn Lotthé Guillon |
Agence | |
agence | Mademoiselle Noï |
directeur de création | Françoise Jacquey |
directeur de création | Valérie Larrondo |
Client | |
client | Paco Rabanne |
Post-production | |
étalonneur | Jean-Clement Soret |