Campagne Volvic conçue par Y & R Paris
Dispositif Tv, web
Première diffusion tv 10 octobre 2014
Volvic revient avec force en télévision pour accompagner le lancement de sa nouvelle identité graphique modernisée (signée Landor Paris) en remettant en lumière son héritage géologique et son emblème depuis 50 ans, le volcan, à travers un film à grand spectacle magistralement réalisé par Johnny Green, intitulé « La force du volcan ».
Le film épique est une évocation esthétique et puissante de l’histoire du monde du big bang à nos jours, l’histoire de la force immortelle du volcan et de son trésor, l’eau de Volvic.
Dans une succession d’images poétiques et explosives, magnifiées par Digital District, les éléments et les hommes se déchaînent pour révéler l’âme et la puissance du volcan transmises à l’eau.
Pour les producteurs Jean Villiers et Nathalie Le Caer, le film a été un challenge de bout en bout, avec de plus un temps connu limité à 5 semaines pour la postproduction : depuis le choix d’un même lieu permettant de tourner les scènes réelles du glacier, de la grotte et des flancs du volcan, le casting à travers l’Europe pour trouver les danseurs et lutteurs professionnels ainsi que des cavaliers expérimentés, les costumes « historiques » à rapatrier de Madrid, Paris, et Londres, la post production à lancer à Paris sans tarder pour les scènes entièrement réalisées sur ordinateur (full CGI) et enfin le tournage même en Islande.
« Une fois en Islande, le temps n’était pas de notre côté et nous avons dû affronter 4 jours de pluie sur 5 jours de tournage prévus ! Parmi les ressources utilisées, nous avons compté plus de 25 chevaux, 30 personnes pour les effets spéciaux des éléments, feu et fumée plus 2 jours en studio avec 3 plateaux pour travailler sur les textures permettant de reconstituer les séquences dont celles du big bang notamment avec fumée, liquides, poussière, peinture.
Nous avons également tourné 2 jours avec un hélicoptère pour tourner les plates des séquences de la création de la terre, le volcan, les ptérodactyles, le garçon.
De retour à Paris avec plus de 72 heures de matériel, nous avons travaillé en postproduction dans ce laps très court de 5 semaines pour livrer ce film tel qu’il est diffusé à travers l’Europe et dont nous sommes fiers ».
Le Making of Le breakdown VFX
Production | |
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réalisateur | Johnny Green |
directeur de la photographie | Joost van Gelder |
production | Gang Films |
producteur | Jean Villiers |
producteur | Nathalie Le Caer |
Agence | |
agence | Y&R Paris |
directeur de création | Pierrette Diaz |
head tv prod | Valérie Montiel |
tv prod | Estelle Diot |
Client | |
client | Volvic |
Technique | |
directeur de production | Rodolphe Lanaro |
production de service | Truenorth |
styliste | Olivier Beriot |
art director | Xavier Reyé |
art director | Jérôme "Lardux" Billet |
chef décorateur | Pirra |
Post-production | |
monteur | Walter Mauriot |
monteur | Fred Baudet |
post-production | Digital District |
post-producteur | Jean-Marie Ravot |
post-producteur | François Schmidt |
post-producteur | Lolet Ong |
head of post | Peggy Tavenne |
post-producteur Vfx | David Danesi |
flame | Bruno Maillard |
superviseur VFX shoot | Pierre Pilard |
vfx | Julien Fabbris |
3D lead | Romuald Caudroit |
vfx 3D | Thomas Marqué |
tracking | Pierre Pilard |
compositing | Bruno Maillard |
matte | Xavier Reyé |
lead texture | Laurent Guerin |
modeling | Kevin Monthureux |
modeling | Jimmy Cavé |
animation | Romuald Caudroit |